Bien que le Canada soit doté de grandes richesses naturelles au regard de sa modeste population, le déclin de la biodiversité et l’épuisement des ressources naturelles n’en demeurent pas moins un problème grandissant. Il est essentiel d’y remédier et d’utiliser notre capital naturel à meilleur escient, afin de nous assurer un avenir meilleur sur le plan de l’écologie et de l’économie.

Les responsables de l’élaboration de politiques ont à leur disposition un ensemble d’instruments efficaces qui ont fait leurs preuves, et c’est là une cause d’optimisme. En effet, les instruments économiques (IE) peuvent, de façon rentable, encourager la conservation des écosystèmes et des services qu’ils fournissent. De tels instruments sont susceptibles de contenir les intérêts personnels des individus, sociétés et collectivités, pour les inciter à conserver la biodiversité. En outre, ils peuvent encourager les pratiques écologiques, stimuler le développement de technologies vertes et l’innovation, et décourager le gaspillage et les pratiques inefficientes, sans toutefois nuire à la compétitivité de l’économie (bien au contraire, pouvant même l’accroître). Enfin, ces instruments peuvent s’appliquer à un large éventail d’écosystèmes, qu’il s’agisse de terres à bois individuelles ou de larges domaines, de forêts publiques ou de quartiers du centre-ville.

Rapport:


Médias:

..........Mike De Souza, Calgary Herald (6 juin 2011)

..........Mike De Souza, Vancouver Sun (6 juin 2011)

..........Christopher Hume, Toronto Star (6 juin 2011)

..........Renata D'Aliesio, The Globe and Mail (6 juin 2011)

..........Danielle Milley, Inside Toronto (8 juin 2011)